Martine ROUHART, Séparations, Liège, Dricot, 2015, 240p., 17€
Contrairement à ce que le titre du roman, Séparations, peut nous laisser présager, nous n’allons pas plonger dans une série d’histoires douloureuses et plaintives de ruptures. Le récit est divisé en dix tableaux, que l’on pourrait considérer comme des nouvelles, si elles n’étaient pas reliées entre elles par des personnages tantôt secondaires dans tel chapitre, tantôt centraux dans tel autre. Continuer la lecture