Denis DANIELS, 22h22, Marcinelle, Basson, coll. « Roman », 2015, 122 p., 14 €
Le narrateur passe ses journées dans une gare assis sur un banc. Il attend un train dont il ne connaît ni l’heure de départ ni celle de l’arrivée. La raison pour laquelle il attend là reste mystérieuse durant une bonne partie du récit, mais son obstination à se placer à son poste de 6h du matin à 23h34 fait comprendre au lecteur que son comportement est dicté par une motivation profonde. Continuer la lecture