
Vincent Engel
Pour la troisième année consécutive, le prix littéraire Filigranes est organisé par la librairie bruxelloise du même nom, en partenariat avec le journal L’Écho, la banque ING et les assurances Soyer et Mamet. Remis le 21 septembre et doté de 10.000 €, il récompense un livre francophone qui se distingue par sa capacité à plaire à tous les publics. Les finalistes de l’édition 2018 sont connus.

Adeline Dieudonné
Le jury du prix 2018 est présidé par Thomas Gunzig, lauréat de l’édition précédente pour son roman La vie sauvage (Au diable vauvert). Il est composé de 44 personnes (journalistes, sponsors, lecteurs…). La sélection de cette année comprend six finalistes, dont trois auteurs belges (mais six éditeurs français) et deux premiers romans. Vincent Engel figure dans la sélection pour son dernier roman, Maramisa (Les Escales) paru au printemps, une contre-utopie.
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La deuxième auteure belge finaliste (et seule femme de la sélection…) est Adeline Dieudonné, pour son premier roman à paraître à la rentrée littéraire, La vraie vie (éditions L’Iconoclaste). Ce livre confirme ainsi son remarquable parcours, puisqu’il est en lice pour deux prix consacrés aux premiers romans : le prix Stanislas et le prix « Envoyé par la poste ».
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Jean Bofane
Enfin, la sélection comprend aussi In Koli Jean Bofane, pour son roman à paraître lors de la rentrée littéraire, La Belle de Casa (Actes Sud).
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Les six finalistes 2018
La rose de Saragosse de Raphaël Jerusalmy (Actes Sud)
Maramisa de Vincent Engel (Les Escales)
La fin des idoles de Nicolas Gaudemet (Tohu-Bohu)
La vraie vie d’Adeline Dieudonné (L’Iconoclaste)
Helena de Jérémy Fel (Rivages)
La Belle de Casa d’In Koli Jean Bofane (Actes Sud)
Le palmarès du prix Filigranes
2017 : Thomas Gunzig pour La vie sauvage (Au diable vauvert)
2016 : Adélaïde de Clermont-Tonnerre pour Le dernier des nôtres (Grasset)