Le prix Saga Café 2020 : les finalistes

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Le café liégeois Saga organise un prix littéraire annuel. Les 3 finalistes de l’édition 2020 sont connus. Le vainqueur succédera à Arnaud Nihoul, primé en 2019 pour Caitlin (Genèse édition).

Les finalistes 2020

Les trois finalistes de l’édition 2020 ont été dévoilés. La sélection met à l’honneur l’édition belge, puisque les trois livres retenus sont publiés en Belgique. Autre point commun entre les trois ouvrages : ils évoquent tous trois l’une des deux guerres mondiales – des événements qui restent de fait toujours très présents dans la littérature d’aujourd’hui.


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Le jury a retenu Étincelles, le premier roman d’Éric Causin paru chez Genèse édition, histoire d’une rencontre et d’un amour né pendant la Première guerre mondiale et qui trouve son épilogue à la fin de la Seconde.


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Le deuxième livre de la sélection est Le cahier orange de Bernard Caprasse, publié aux éditions Weyrich. Sélectionné aussi pour le prix des lycéens de littérature, ce roman évoque quant à lui la Deuxième guerre mondiale, dans l’histoire de laquelle plonge le héros suite à la découverte d’un mystérieux manuscrit.


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Enfin, le jury du prix Saga café a retenu L’affaire Ruspoli de Serge Quoidbach, publié chez Murmure des soirs. Le roman évoque un épisode peu connu de la Deuxième guerre mondiale, dans le cadre du château de Seneffe.


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Le prix Saga café

Décerné chaque année à l’automne, le prix Saga Café est organisé par l’établissement liégeois qui lui donne son nom. Il récompense un premier roman d’un auteur belge francophone.

Le palmarès du prix Saga Café

  • 2019 : Arnaud Nihoul pour Caitlin (Genèse édition)
  • 2018 : Bernard Antoine pour Pur et nu (Murmure des soirs)
  • 2017 : Marcel Sel pour Rosa (ONLiT)
  • 2016 : Emmanuelle Pirotte pour Today we live (Cherche-Midi)
  • 2015 : Jean-Pierre Orban pour Vera (Mercure de France)
  • 2014 : Karine Lambert pour L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes (Lafon)
  • 2013 : Michel Torrekens pour Le géranium de Monsieur Jean (Zellige)
  • 2012 : Giuseppe Santoliquido pour L’audition du docteur Fernando Gasparri (Renaissance du Livre – Grand Miroir)
  • 2011 : Justine Lalot pour Pas grand-chose (Luce Wilquin)
  • 2010 : François Weerts pour Les sirènes d’Alexandrie (Actes Sud)