
La rétrospective de l’année littéraire belge avec le Top 3 des chroniqueurs. Aujourd’hui : le choix de Michel Torrekens.
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La rétrospective de l’année littéraire belge avec le Top 3 des chroniqueurs. Aujourd’hui : le choix de Michel Torrekens.
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La rétrospective de l’année littéraire belge avec le Top 3 des chroniqueurs. Aujourd’hui : le choix de Thierry Detienne.
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Jean-Pierre Orban – © Mercure de France
Le jury du prix du Livre européen 2018 vient de rendre public sa première sélection dans la catégorie roman. La Belgique y est bien représentée, avec trois titres parmi les vingt-trois qui composent la liste. Continuer la lecture
Jean-Pierre ORBAN, Toutes les îles et l’océan, Mercure de France, 2018, 294 p., 21 € / ePub : 14.99 €, ISBN : 978-2-7152-4729-1
Au début des années 1960, Adèle embarque vers une ville non nommée qui apparaîtra finalement être Stanleyville. Elle est à la recherche de Sainto avec qui elle a vécu une brève mais très forte relation et dont elle est enceinte. Dans la première partie de Toutes les îles et l’océan, Jean-Pierre Orban raconte cette lente remontée sur un bateau, où Adèle est la seule Blanche, et l’arrivée dans une ville à feu et à sang. La deuxième partie a pour cadre Bruxelles, la troisième Londres et une brève quatrième se déroule sur l’océan. Continuer la lecture
Vera, premier roman de Jean-Pierre Orban (Mercure de France), est lauréat du 9e Prix du Livre européen.
L’écrivain recevra son prix ce 8 décembre 2015 au Parlement européen de Bruxelles, conjointement avec l’essayiste autrichien Robert Menasse, auteur de Un messager pour l’Europe. Continuer la lecture
L’Académie royale de langue et littérature française de Belgique a remis le samedi 14 mars 2015 ses différents prix littéraires : Continuer la lecture
Jean-Pierre ORBAN, Nous nous ressemblons tant, MaelstrÖm, 2015, 56 p., 6 €
Inutile de s’interroger sur le genre auquel appartient Nous nous ressemblons tant de Jean-Pierre Orban. Le lecteur, bien libre de convoquer le narrataire invisible du Camus de La Chute, le délire de Molloy, le désarroi des Six personnages de Pirandello ici ramenés à un seul, pourquoi pas même l’écorchement brellien de Ces gens-là, ne trouvera pas dans ces illustres références des besicles interprétatives d’un grand secours. Le ton donné est en tout cas celui de la confession embarrassée, hargneuse parfois, quand ce n’est un tantinet manipulatrice dans sa séduction de l’auditeur.