Archives par étiquette : Thierry Robberecht

Marleen et Moussa

Thierry ROBBERECHT, Trouver sa place, Weyrich, coll. « Plumes du coq », 2022, 116 p., 16 € / ePub : 9,99 €, ISBN : 978-2-87489-737-5

robberecht trouver sa placeMoussa vient d’arriver à Bruxelles au terme d’un périple fou depuis sa Guinée natale. Mû par l’espoir de gagner l’Angleterre et d’y trouver un avenir meilleur, il erre dans la grisaille de la ville, affamé jusqu’au vertige, sans endroit où loger autre que les abris de carton où il croise ses semblables.

Marleen a la soixantaine tristounette, elle est veuve et vit seule, les enfants ont quitté la maison et ne donnent plus de nouvelles. Elle sait qu’elle finira sa vie sans réel souci matériel, mais elle souffre de solitude. Ses seuls contacts se résument aux commerces du coin et au bistrot où elle est bonne cliente, et au face-à-face avec son écran de télévision. Sans réelle perspective réjouissante. Continuer la lecture

Rebonds, pour accompagner les ados dans la lecture

Rebonds

Rebonds propose aux enseignants, bibliothécaires et à tous les adultes intéressés une sélection de livres accessibles aux ados et des fiches pour accompagner la lecture. Pour un parcours original dans la littérature belge d’aujourd’hui. Continuer la lecture

Le Top de Marguerite Roman

La rétrospective de l’année littéraire belge avec le Top 3 des chroniqueurs. Aujourd’hui : le choix de Marguerite Roman.


Lire aussi : la fiche de Marguerite Roman


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Le Top 3 de Philippe Remy-Wilkin

La rétrospective de l’année littéraire 2018 par les chroniqueurs du Carnet et les Instants. Aujourd’hui : le Top 3 de Philippe Remy-Wilkin.

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Balance ta mère !

Un coup de cœur du Carnet

Thierry ROBBERECHT, Onnuzel, Weyrich, coll. « Plumes du coq », 2018, 126 p., 13€, ISBN : 978-2-87489-499-2

Que voici un petit livre singulier ! Thierry Robberecht, nous plongeant dans les Golden Sixties, y épouse la perspective d’un garçon de huit ans, qui vit sans père, à l’ombre de sa mère et de sa sœur, exposé à la condescendance ou à l’hostilité des voisins, de la grande famille, sidéré/pétrifié par le non-dit et le trop-dit jusqu’à se muer en « empoté » (onnuzel) distrait et maladroit. Continuer la lecture