Archives par étiquette : Lucas Belvaux

Encore un prix pour Lucas Belvaux

Lucas Belvaux

Lucas Belvaux – © Gilles Pensart

Le premier roman du cinéaste Lucas Belvaux, Les tourmentés, reçoit le prix Claude Chabrol.  Continuer la lecture

Le prix Régine Deforges pour Lucas Belvaux

belvaux les tourmentés

Le prix Régine Deforges 2023 est décerné à Lucas Belvaux pour son premier roman, Les tourmentés (Alma).  Continuer la lecture

Revue de presse : les livres de l’année 2022

revue de presse - illustration

Photo Pixabay

Tout au long du mois de décembre, les médias ont dressé le bilan de l’année littéraire 2022, dévoilant en particulier leurs listes des « meilleurs » livres des douze derniers mois. Un exercice auquel la rédaction du Carnet et les Instants a participé : nous vous avons proposé, du 8 au 31 décembre, les sélections de nos chroniqueurs et chroniqueuses. Nos regards se tournent à présent vers les choix des autres journaux et magazines – et plus précisément sur les auteurs et autrices belges francophones qu’ils ont retenus. Continuer la lecture

Le Top 2022 de Laura Delaye

Le Carnet et les Instants revisite l’année littéraire 2022 avec le Top 3 de ses chroniqueurs et chroniqueuses. La sélection de Laura Delaye. Continuer la lecture

La rentrée littéraire 2022 : une revue de presse (1)

revue de presse - illustration

Photo Pixabay

La rentrée littéraire des maisons d’édition françaises a commencé le 17 août. Les romans annoncés pour cette période sont déjà quasi tous disponibles. Après quelque quatre semaines, l’on sent déjà les ouvrages qui ont les faveurs des médias et ceux qui parcourront un chemin plus discret, sinon effacé. 

Quel accueil la presse a-t-elle réservé aux livres des auteurs et autrices belges qui participent à la rentrée littéraire française? Tentative de réponse avec cette revue de presse. Continuer la lecture

Polyphonie du combat

Un coup de cœur du Carnet

Lucas BELVAUX, Les tourmentés, Alma, 2022, 352 p., 20 € / ePub : 12,99 €, ISBN : 978-2-36279-608-1

belvaux les tourmentésSoldat, avant d’être légionnaire puis mercenaire, Skender rentre traumatisé de toutes ces guerres où il a tué et vu mourir. Impossible pour lui de reprendre la vie tranquille qu’il menait avec sa femme et ses enfants. Sa violence fait peur, il doit quitter le domicile conjugal. Pour aller où ? Chez sa mère, les reproches sont sans fin. La haine est trop grande.  

Sans emploi ni maison. Sans raison d’être. Sans vergogne. Il erre dans les bois autour de la ville jusqu’à ce que Max le retrouve. Continuer la lecture