Au cours des dernières semaines, les médias ont dressé le bilan de l’année littéraire 2021, souvent par le biais de listes des ouvrages les plus remarquables de l’année. Le Carnet et les Instants vous a proposé les sélections de ses chroniqueurs et chroniqueuses tout au long du mois de décembre. Place à présent aux choix d’autres journaux et magazines – et plus précisément, aux auteurs et autrices belges qu’ils mentionnent. Continuer la lecture →
Le Carnet et les Instants revisite l’année littéraire 2021 avec le Top 3 de ses chroniqueurs et chroniqueuses. La sélection de Louise Van Brabant.Continuer la lecture →
Le Carnet et les Instants revisite l’année littéraire 2021 avec le Top 3 de ses chroniqueurs et chroniqueuses. La sélection d’Amélie Dewez. Continuer la lecture →
Le Carnet et les Instants revisite l’année littéraire 2021 avec le Top 3 de ses chroniqueurs et chroniqueuses. La sélection de Laura Delaye.Continuer la lecture →
Christine AVENTIN, Scalp, Arbre à paroles, coll. « If », 2021, 110 p., 14 €, ISBN : 978-2-87406-750-1
En avril dernier, Christine Aventin sortait FeminiSpunk chez Zones, une réflexion anti-conformiste sur le potentiel révolutionnaire des filles. Ce livre a occupé l’autrice pendant trois ans. Trois années durant lesquelles il n’y a pourtant pas eu que l’écriture. Non. Or pas de place dans l’essai pour dire « la débandade politique sur la ZAD où [elle] vivait », l’otite qui tourne mal au point de vivre « le coma, la douleur, l’aphasie », le crâne trépané, mais aussi « les deux ruptures amoureuses simultanées ». Non. Pas de place dans FéminiSpunk, livre de force et de puissance. Continuer la lecture →
Christine AVENTIN, FéminiSpunk. Le monde est notre terrain de jeu, Zones, 2021, 136 p., 15 €, ISBN : 978-2-355221-64-4
« Christine Aventin est une fille un peu gauche ; un écrivain contrarié. De genre littéraire fluide, elle publie au même momentScalp(poèmes) – (à l’arbre à paroles, collection « if ») ». Ainsi se présente l’autrice dans les deux livres, signés de sa main, qui ont paru cette année.
Tout commence avec : t’écrirais pas un truc sur le féminisme punk ? ou comment les copines anarcaféministes, à qui manquait une définition, ont un jour interpellé Aventin. FéminiSpunk est sa « réponse ». Un essai – à prendre au sens de « tentative de bricoler [une] histoire » – pour lequel l’autrice est rentrée tout entière à l’intérieur du mot féminiSpunk. Continuer la lecture →
Christine AVENTIN, Breillat des yeux le ventre, postface de Christophe Meurée, Impressions nouvelles, coll. « Espace Nord », 2018, 160 p., 8,50 € / ePub : 6.99 €, ISBN : 978-2-87568-406-6
Couronné par le prix quinquennal de l’essai de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2017 pour sa première édition au Somnambule équivoque et aujourd’hui réédité dans la collection Espace Nord, Breillat des yeux le ventre est conçu comme un corps textuel inouï au travers duquel se conquièrent un sujet politique et un nouveau plan d’écriture. Revenant sur sa trajectoire littéraire — le coup d’envoi du Cœur en poche, la dépossession de l’œuvre, de soi, le rapt de l’œuvre par le père —, Christine Aventin tisse une machine littéraire autour d’un feu central, d’un attracteur moléculaire, Catherine Breillat. Dans un jeu de miroirs, d’interfécondation (au sens où Proust l’évoque dans Sodome et Gomorrhe), les films, les écrits de Breillat se retrouvent réengendrés dans le mouvement même où ils révèlent à Christine Aventin l’expérience d’une sororité. Breillat-Aventin en écho d’Antigone et d’une Ismène antigonisée… Continuer la lecture →
Christine Aventin, Portrait nu, Weyrich, coll. « Plumes du coq », 2018, 169 p. 14 €, ISBN : 978-2-87489-471-8
C’est une belle image de femme à découvert que nous propose Christine Aventin dans son roman Portrait nu. Non que l’intime soit vraiment dévoilé, il n’apparaît clair que dans ces textes en italiques et sous un régime narratif différent qui jalonnent le récit. C’est la contradiction fondamentale qui sous-tend l’ensemble : en dire beaucoup et se réserver. Continuer la lecture →
À l’occasion de la remise des Prix littéraires de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles a réalisé des portraits vidéos des lauréat-e-s. Une autre manière de découvrir ces auteurs et autrices qui expriment des facettes différentes de la réalité littéraire de la Belgique francophone. Continuer la lecture →
La cérémonie de remise des Prix littéraires de la Fédération Wallonie-Bruxelles s’est tenue ce soir au Théâtre royal du Parc. Elle était présentée par Florence Hainaut.
Ces prix littéraires se veulent un reflet du dynamisme et de la diversité du champ littéraire en Fédération Wallonie-Bruxelles, c’est pourquoi ils couvrent des pratiques littéraires diverses, mais aussi des champs linguistiques différents, puisqu’à côté d’œuvres en langue française, une place est aussi faite à la littérature en langues régionales.
Le palmarès 2017 :
Prix Paroles urbaines : catégorie slam : Leïla et Toro (ex aequo) ; catégorie rap : Badi et L’Hexaler (ex aequo) ;