Archives par étiquette : Caroline Valentiny

Le Top 3 de Marc Wilmotte

Chaque jour, Le Carnet et les Instants revisite l’année littéraire 2020 avec le Top 3 de ses chroniqueurs et chroniqueuses. Aujourd’hui : la sélection de Marc Wilmotte. Continuer la lecture

Les rendez-vous du premier roman : les finalistes

Caroline Valentiny

Caroline Valentiny – © Caroline Valentiny

Les rendez-vous du premier roman, prix littéraire québécois, ont livré la sélection de l’édition 2020-2021. Les lauréat-e-s seront dévoilés au printemps. Continuer la lecture

Portées Portraits : la nouvelle saison

Nathalie Skowronek

Nathalie Skowronek sera à Portées Portraits le 7 décembre – ©JF Paga

Les rencontres littéraires Portées Portraits reprennent à la rentrée, dans leur écrin de la maison Autrique, mais aussi, pour certaines, à Wolubilis. Un riche programme qui fait résonner la littérature. Et en particulier la littérature belge. Continuer la lecture

La sélection du prix Régine Deforges

Caroline Valentiny – © Caroline Valentiny

Créé en hommage à l’autrice et éditrice Régine Deforges (1935-2014), le prix qui porte son nom récompense chaque année un premier roman. Il est doté de 3.000 €. La première sélection de l’édition 2020, composée de huit titres, est connue. Continuer la lecture

Prix Première : tous les finalistes sont connus

Le prix Première, décerné chaque année par la RTBF, avait annoncé en décembre le nom des cinq premiers finalistes de l’édition 2020. Cinq ouvrages supplémentaires viennent d’être ajoutés et la sélection est désormais complète.  Continuer la lecture

La mort est un mystère

Caroline VALENTINY, Il fait bleu sous les tombes, Albin Michel, 2020, 184 p., 16.90 € / ePub : 11.99 €, ISBN : 978-2-226-44794-4

Il fait bleu sous les tombes. Le titre – un brin de mystère, un soupçon de poésie – donne d’emblée le ton du premier roman de Caroline Valentiny, qui lance la rentrée littéraire d’hiver des éditions Albin Michel.

Un premier roman choral, qui suit les parcours de Madeleine, la mère ; de Pierre, le père ; de Juliette, l’amie-amoureuse et de Noémie, la petite sœur, comme autant de lézardes creusées par une unique déflagration : la mort d’Alexis, un étudiant de vingt ans, dont le roman suit aussi les pensées post-mortem. Un livre à cinq voix, qui dans la brièveté de ses 180 pages, arpente aussi trois voiES. Continuer la lecture